Testing Polish food
Vous vous souvenez des articles sur les fromages irlandais que j'ai pu goûter ? Ca fait longtemps. Aujourd'hui je passe à la nourriture polonaise !
C’est peut-être un bien grand mot que de dire « nourriture », car j’ai goûté deux choses seulement. Mais au moins j'ai pu voir que la bouffe polonaise c'était pas juste des soupes ou des ragoûts étranges, le cliché qu'on en a.
Il y a beaucoup de Polonais en Irlande, c’est peut-être la plus grande minorité là-bas. Chaque supermarché a son coin de rayon dédié aux produits polonais. Des pâtes, des gâteaux, des trucs bizarres dans des bocaux… Et de temps en temps à Lidl ils ont des arrivages d’autres produits. C’est peut-être pas très authentique mais c’était bon !
J’ai goûté des pierogis, des pâtes fourrées au fromage ou à la viande. La pâte est à base de pomme de terre. Pommes de terres, fromage et viande, je ne pouvais qu’aimer.
La variété au fromage est meilleure que celle à la viande selon moi. Ces pâtes s’achètent congelées et on les cuit à l’eau bouillante comme des ravioli. Elles sont assez grosses, il en faut seulement 6-7 par portion. Avec du beurre et un peu de cheddar râpé c'était un repas rapide à préparer et qui cale.
Une fois mon paquet fini, il n’y en avait plus à Lidl. Alors j’en ai cherché dans les autres supermarchés. J’ai fini par en retrouver d’une autre marque, toute contente, je les ai achetées, et quelques jours plus tard j’en ai cuit un peu pour mon déjeuner. Et là, malheur, la farce était sucrée ; pas subtilement sucrée, vraiment sucrée. C’était pas bon du tout… mieux vaut connaître les bonnes marques. Sinon, j'ai trouvé une recette pour les faire soi-même et là, pas de risque que ça soit trop sucré et inmangeable.
A Lidl j’avais aussi acheté une boîte de fromage style Vache qui rit mais avec différents parfums.
J’étais un peu dubitative pour le poivron mais c’était le meilleur des trois au final, celui qui avait le plus de goût.
Donc me voilà un chouilla plus avancée dans mes découvertes culinaires ; ça faisait un moment que je devais écrire l’article, c’est chose faite maintenant.